Les secrets des façades sans humidité avec ces 10 astuces imparables

10 astuces infaillibles pour éradiquer l’humidité des façades

L’humidité des façades est un problème fréquent et préoccupant pour les propriétaires de bâtiments, qu’il s’agisse de maisons, d’immeubles résidentiels ou de locaux professionnels. Les causes de l’humidité peuvent être diverses, liées à la conception du bâtiment, aux matériaux utilisés, à l’environnement extérieur ou à son utilisation. Dans cet article, nous examinerons en détail les différentes solutions efficaces pour lutter contre l’humidité des façades, afin de préserver la qualité du bâtiment et le confort de ses occupants.

Une analyse complète de l’humidité des façades

Avant de résoudre les problèmes d’humidité des façades, il est crucial de faire un diagnostic approfondi de la situation. Ce diagnostic doit prendre en compte plusieurs éléments, tels que l’observation visuelle des signes d’humidité comme les moisissures, les taches, le salpêtre et le décollement de la peinture. Il est également important de mesurer le taux d’humidité dans l’air à l’aide d’un hygromètre, car un taux supérieur à 65% peut indiquer un problème d’humidité. Enfin, il est essentiel d’identifier l’origine de l’humidité, qu’il s’agisse de problèmes d’étanchéité, de remontées capillaires, de condensation ou de fuites d’eau. Une fois le diagnostic effectué, il est possible de mettre en place des solutions adaptées pour résoudre les problèmes d’humidité des façades.

Prévenir l’humidité des façades : des traitements efficaces

10-astuces-infaillibles-pour-eradiquer-lhumidite-des-facades

Il existe différentes méthodes préventives pour éviter les problèmes d’humidité sur les façades des bâtiments. L’une de ces méthodes consiste à appliquer un traitement hydrofuge sur la façade pour la protéger des infiltrations d’eau. Il est important de réaliser ce traitement sur une façade propre et saine, et de le renouveler régulièrement pour une efficacité optimale. Une autre option est de poser un bardage en bois, métal ou PVC sur la façade. Ce bardage protège la façade des intempéries et de l’humidité, tout en améliorant l’isolation thermique et phonique du bâtiment. Il est également essentiel de vérifier et d‘améliorer la ventilation du bâtiment si nécessaire, car une ventilation insuffisante peut entraîner des problèmes d’humidité par condensation. Enfin, il est important de s’assurer que les gouttières et les descentes d’eau fonctionnent correctement pour éviter les infiltrations et l’humidité causées par une mauvaise évacuation des eaux de pluie. En mettant en place ces traitements préventifs, il est possible de limiter les risques d’apparition de problèmes d’humidité sur les façades des bâtiments.

Solutions efficaces contre l’humidité des murs extérieurs

Lorsque les façades sont touchées par l’humidité, il est important d’agir rapidement pour éliminer le problème et éviter qu’il ne revienne. Les solutions curatives dépendent de la cause identifiée lors du diagnostic.

Si l’humidité est due à des problèmes d’étanchéité, il faut réparer les fissures, les joints défectueux ou les dégradations des matériaux. Ensuite, il est recommandé d’appliquer un traitement hydrofuge pour protéger la façade et prévenir de nouvelles infiltrations.

Pour lutter contre les remontées capillaires, qui sont causées par l’absorption de l’eau du sol par les matériaux poreux de la façade, on peut injecter une résine hydrophobe dans les murs pour créer une barrière étanche. Il est également possible de poser une membrane d’étanchéité ou de réaliser un drainage pour évacuer l’eau.

La condensation se produit lorsque l’air chaud et humide entre en contact avec une surface froide, comme une façade mal isolée. Pour lutter contre ce phénomène, il faut améliorer l’isolation thermique de la façade et assurer une bonne ventilation du bâtiment pour évacuer l’humidité.

En cas de fuites d’eau, il est essentiel de réparer la source de la fuite, qu’il s’agisse d’une canalisation défectueuse, d’une toiture en mauvais état ou d’un problème de gouttière. Une fois la fuite réparée, il faut traiter les dégâts causés par l’humidité, comme la moisissure ou le salpêtre, et vérifier l’état de la façade pour prévenir de nouveaux problèmes d’humidité.

En mettant en œuvre ces solutions curatives adaptées à la cause de l’humidité des façades, il est possible de traiter efficacement le problème et de garantir la durabilité du bâtiment.

Prévention de l’humidité des façades grâce à un entretien régulier et un suivi adéquat

Pour éviter les problèmes d’humidité sur les façades des bâtiments, il est important de les entretenir régulièrement et de surveiller les éléments qui peuvent causer de l’humidité. L’entretien doit inclure le nettoyage des façades pour éliminer les saletés, les mousses et les lichens qui favorisent l’humidité. Il est également essentiel de vérifier régulièrement l’état des joints et des fissures afin de les réparer si nécessaire pour éviter les infiltrations d’eau. Les matériaux de façade doivent également être contrôlés et réparés en cas de dégradation. De plus, il est important de surveiller régulièrement les éléments de drainage des eaux pluviales, tels que les gouttières et les systèmes de drainage, pour éviter les problèmes d’humidité liés à une mauvaise évacuation des eaux de pluie.

Pour prévenir l’humidité, il est également essentiel de contrôler la ventilation en vérifiant régulièrement le bon fonctionnement des systèmes de ventilation et en les ajustant si nécessaire. Il est important de surveiller l’apparition de signes d’humidité tels que des taches, des moisissures ou des décollements de peinture sur les façades, et de prendre des mesures pour traiter le problème dès qu’il se manifeste. Il est recommandé de réaliser un diagnostic complet de la situation tous les 5 à 10 ans pour identifier les sources d’humidité et mettre en place des solutions adaptées.

En entretenant régulièrement les façades et en surveillant attentivement les éléments susceptibles de causer de l’humidité, il est possible de prévenir les problèmes d’humidité et de garantir la durabilité et le confort des bâtiments pour leurs occupants. Il est important de faire appel à un professionnel pour vous accompagner dans cette démarche et garantir des résultats durables et satisfaisants.

Chaudières au gaz : la fin des aides gouvernementales ?

Chaudières à gaz : la fin des aides gouvernementales et l’incertitude de l’interdiction

Le gouvernement a décidé de faire machine arrière concernant l’interdiction des chaudières à gaz d’ici 2026. Au lieu de cela, il préfère prendre son temps pour étudier les avis reçus lors de la consultation publique sur la décarbonation du bâtiment. Cependant, toutes les aides facilitant l’accès aux chaudières à gaz seront supprimées à partir de la rentrée 2023. L’objectif est de favoriser l’adoption de solutions de chauffage plus respectueuses de l’environnement et de développer les filières industrielles alternatives. Il est important de noter que l’industrie de la chaudière à gaz emploie environ 210 000 installateurs qualifiés, ce qui aurait nécessité une reconversion rapide pour répondre aux nouvelles exigences environnementales.

Les chaudières hybrides : une alternative prometteuse ?

Chaudière électrique hybride
En France, le secteur du bâtiment est responsable de 18% des émissions de CO2, dont la moitié est due au chauffage au gaz. Cependant, tout le monde ne peut pas se permettre d’acheter une pompe à chaleur et son installation peut être techniquement contraignante, notamment dans les immeubles résidentiels collectifs. Une solution intermédiaire pourrait être l’installation de chaudières à très haute performance énergétique, de pompes à chaleur hybrides ou de chaudières d’appoint en complément d’une pompe à chaleur, afin de réduire les émissions de CO2 et de ne pas surcharger le réseau électrique. En France, environ 12 millions de foyers se chauffent au gaz, soit près de 40% des ménages. Les chaudières hybrides pourraient permettre de réduire la consommation d’énergie de 40% et les émissions de CO2 du secteur de 70%. La ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a exprimé son soutien à l’utilisation de chaudières hybrides, qui utilisent l’électricité pour l’eau chaude sanitaire et le chauffage pendant les saisons intermédiaires, et le gaz pour les périodes de grand froid en hiver. Engie a déjà demandé des aides de l’État, notamment une extension du dispositif CEE, pour financer l’installation de nouvelles pompes à chaleur associées aux chaudières à gaz existantes.

Potentiel d’économies à considérer avec le biogaz

Engie envisage de proposer des offres de « gaz vert » similaires à celles d’électricité verte. L’idée est d’offrir une réduction de TVA aux clients qui utilisent au moins 50 % ou 60 % de gaz vert. Cette stratégie permettrait de compenser les coûts de production plus élevés du gaz vert par rapport au gaz naturel.

obstacles de MaPrimeRenov

Les propriétaires face aux obstacles de MaPrimeRenov : un an de lutte pour obtenir l’aide financière tant attendue

les-proprietaires-face-aux-obstacles-de-maprimerenov-un-an-de-lutte-pour-obtenir-laide-financiere-tant-attendue

Les difficultés pour obtenir les aides à la rénovation énergétique sont de plus en plus nombreuses, comme en témoignent les membres du groupe Facebook MaPrimeRenov’

La défenseure des droits a récemment souligné les problèmes techniques récurrents du programme MaPrimeRénov, qui vise à aider les propriétaires à rénover leur logement de manière énergétiquement efficace. Les demandeurs ont exprimé leur mécontentement et leur inquiétude face à des dysfonctionnements tels que l’incapacité de modifier ou de mettre à jour leur dossier sans perdre leur demande. De plus, l’assistance téléphonique offerte par l’Anah (Agence nationale de l’habitat) ne remplit pas son rôle de manière satisfaisante, avec des conseillers difficiles à joindre et des réponses variables d’un interlocuteur à l’autre. Malgré la création de France Renov’ en début d’année, les retards persistent en raison du grand nombre de dossiers à traiter, qui se chiffre en millions chaque année. Cette situation met certains bénéficiaires dans une situation précaire, car ils ont déjà contracté des dettes pour financer leurs travaux en attendant le versement de leur aide.

Dans ses recommandations, la défenseure des droits demande de résoudre de manière définitive les problèmes techniques signalés, de réduire les délais de traitement des dossiers, d’améliorer l’information des utilisateurs, de permettre l’ouverture de dossiers autrement que par voie électronique et de régulariser toutes les demandes d’aide qui n’ont pas abouti en raison de difficultés liées à la mise en œuvre du programme.

La prime, une épée de Damoclès en suspens

Le problème avec MaPrimeRenov’ n’est pas nouveau, il existe depuis septembre 2020. Le groupe Facebook « MaPrimeRenov’ : le parcours du combattant » compte désormais plus de 20 000 membres, soit une augmentation significative en près de 3 ans. Ces membres partagent tous les mêmes difficultés, déjà rapportées par MoneyVox à la fin de l’année 2020 : dépôt du dossier, envoi des devis, évaluation du montant de l’aide, accord de l’Anah, paiement de l’artisan, puis aucune réception de la prime ! Alors que le budget de MaPrimeRenov’ va être augmenté de 1,6 milliard d’euros pour atteindre 4 milliards d’euros en 2024, la situation actuelle reste problématique. Des dizaines de messages sont toujours postés chaque jour sur le groupe Facebook, concernant les problèmes rencontrés avec MaPrimeRenov’. Certains témoignages font état de situations où les dossiers sont en attente depuis longtemps, avec des réponses répétitives des conseillers indiquant que le dossier est en cours d’instruction. Il y a même des cas où des messages de MaPrimeRenov’ ont été reçus, affirmant que le dossier avait été annulé, ce qui est faux.

Les problèmes avec les informations bancaires

William rencontre toujours des problèmes dans le détail de son dossier. Le bouton « Compléter ma demande » a disparu et la fonction « Revenir à la liste des dossiers » est mal affichée sur la page. Cela signifie qu’il ne peut toujours pas demander le solde de son aide. Sarah, de son côté, a pu aller plus loin dans le processus, mais elle ne sait pas combien de temps il faudra avant de recevoir son aide. Le coût total des travaux d’isolation thermique par l’intérieur s’élève à 6500 euros, mais Ma Prime Rénov ne couvre que 600 euros, selon Hervé. Les travaux ont été effectués en janvier 2023 au Mans, et le versement de la prime n’a eu lieu qu’au début du mois de juillet. Il y a donc beaucoup de publicité autour de cette prime qui finalement ne couvre que 10% des travaux, et la date de versement reste floue. Elodie a reçu un courrier de l’Anah l’informant que sa demande de prime avait été acceptée trois mois après avoir déposé son dossier. Elle se demande maintenant quand elle recevra le montant de la prime et si cela se fera par chèque ou par virement bancaire. Lors de la demande en ligne, il faut fournir un RIB, mais parfois cela peut poser problème si l’identité bancaire mentionne à la fois le demandeur et son conjoint, contrairement au devis ou à la facture qui ne sont adressés qu’à l’un ou à l’autre. Après 7 mois d’attente et plusieurs appels à l’Anah, Sa Ba se réjouit d’avoir enfin reçu sa prime.

Un an difficile sans ressources financières

C’est une bonne nouvelle de savoir que la persévérance peut payer et que les aides financières pour la rénovation énergétique ne sont pas une exception. Bien que parfois le montant de l’aide ne soit pas à la hauteur des attentes ou que les démarches soient fastidieuses, cela vaut la peine de poursuivre ses efforts. Comme l’a partagé Jérémy le 1er août, il a enfin reçu le virement après avoir déposé son dossier en juin 2022 pour l’installation d’une chaudière à granulés. D’autres, désabusés, se tournent vers des avocats spécialisés dans la récupération de la prime de rénovation énergétique. Comme l’a mentionné Frédérique le 2 août, après deux ans de procédure, l’aide de l’avocat a été décisive pour le versement de 11 600 euros. Il est encourageant de voir que ces actions collectives peuvent aider ceux qui sont dans une situation similaire. Sur le site internet de l’avocate, il est clair que le cabinet propose des actions en indemnisation en cas de retards excessifs ou de retraits injustifiés de primes. Il est important de noter que des frais de justice de 80 euros peuvent être retenus si une compensation est obtenue suite à une décision de justice ou une négociation avec la partie adverse. Ne perdez pas courage et continuez à vous battre pour vos droits.

peinture isolante

La peinture isolante : la clé pour une rénovation extérieure efficace et économique

L’isolation des façades extérieures, y compris la toiture, est un aspect crucial de la rénovation énergétique et de la réhabilitation. La peinture isolante est une solution pratique et polyvalente qui permet d’agir sur plusieurs fronts à la fois.

Améliorer le confort intérieur grâce à la protection des espaces extérieurs

La recherche de la meilleure solution pour isoler l’intérieur de nos maisons est toujours d’actualité. Outre l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) et l’isolation thermique par l’intérieur (ITI), il existe une autre alternative intéressante qui ne nécessite pas de prendre de l’espace supplémentaire sur les murs : la peinture isolante pour les façades. Au fil des années, cette solution a évolué et propose désormais une protection encore plus poussée pour nos habitations.

Les nouvelles peintures isolantes vont au-delà de la simple couverture de surface. Elles offrent maintenant de nouvelles fonctionnalités qui améliorent la performance thermique, tout en garantissant l’étanchéité à l’air et en permettant une bonne circulation de l’humidité. De plus, elles conservent leur aspect esthétique grâce à une large gamme de couleurs disponibles.

Peinture isolante : une composition sur mesure pour satisfaire vos attentes

Choix de couleurs des peintures isolantes.

Les nouvelles peintures isolantes pour l’extérieur sont une option pratique pour protéger et isoler les surfaces. Elles sont composées d’un mélange de céramique, d’acrylique, de résines et de pigments, créant une texture semblable à du crépi. Ces peintures peuvent être appliquées sur différents types de supports, tels que le zinc, les tuiles, l’ardoise, le béton et le métal.

La céramique est le principal composant de ces peintures, représentant 80% de leur composition. Elle offre des propriétés thermiques en enveloppant la surface peinte d’une couche protectrice. Cette couche permet de bloquer le froid en hiver et de réfléchir la chaleur en été, ce qui peut réduire la consommation d’énergie liée au chauffage et à la climatisation. Selon les tests réalisés par les fabricants, l’économie d’énergie peut dépasser 35% par rapport à une peinture classique. De plus, ces peintures ont également des fonctions d’étanchéité à l’air et de barrière anti-humidité, protégeant ainsi les murs contre les infiltrations.

En résumé, les peintures isolantes pour l’extérieur offrent une solution efficace pour améliorer l’isolation thermique des surfaces, réduire la consommation d’énergie et protéger les murs contre l’humidité. Elles peuvent être appliquées sur différents supports et offrent des avantages significatifs en termes de confort et d’économie d’énergie.

Peinture isolante : une facilité d’application

La peinture de protection des surfaces gagne en popularité malgré son coût élevé, car elle est facile à appliquer. Elle peut être utilisée avec un pinceau, un rouleau ou un pistolet, tout comme une peinture traditionnelle. Une seule couche fine est généralement suffisante pour une efficacité optimale. Selon les fabricants, une couche de seulement 0,5 mm peut avoir la même efficacité qu’un isolant de plus de 6 cm d’épaisseur.

Cette technique peut également être utilisée pour améliorer les performances des bâtiments peu isolés, en contribuant à une meilleure efficacité thermique.

 

Comment récupérer votre chèque énergie 2023

Que faire si vous n’avez pas reçu votre chèque énergie 2023 ? Voici comment le réclamer !

Vous vous demandez comment obtenir votre chèque énergie 2023 ? L’arrivée de ce chèque a été un soulagement pour de nombreuses familles qui rencontrent des difficultés pour payer leurs factures de gaz et d’électricité en raison de la hausse des coûts énergétiques. Cependant, il se peut que vous n’ayez pas encore reçu votre chèque énergie 2023. Dans cet article, nous allons vous expliquer pourquoi vous ne l’avez pas encore reçu et comment le réclamer rapidement.

Si vous vous posez des questions sur les raisons pour lesquelles vous n’avez pas encore reçu votre chèque énergie 2023, cet article vous aidera à comprendre la situation. Il existe en effet plusieurs raisons qui peuvent expliquer cette situation.

Difficultés concernant les conditions d’éligibilité

Il est possible que vous n’ayez pas reçu votre chèque énergie en raison du non-respect des critères d’éligibilité établis par l’administration fiscale. Le chèque énergie est destiné aux foyers dont les revenus se situent en dessous d’un certain seuil. Si vos revenus dépassent ce seuil, vous ne serez pas éligible à cette aide.

Erreurs dans vos informations personnelles

Il est possible que des informations incorrectes concernant votre situation financière ou votre adresse soient utilisées pour attribuer le chèque énergie. Il est donc important de vérifier et de mettre à jour vos informations personnelles auprès de l’administration fiscale. Une fois que vous aurez effectué ces démarches, vous pourrez récupérer votre chèque énergie 2023 en vous rendant sur le site officiel www.chequeenergie.gouv.fr.

Les difficultés liées à la livraison du courrier

Il se peut que vous n’ayez pas reçu votre chèque énergie en raison de problèmes de distribution du courrier. Si vous pensez être éligible à cette aide mais que vous ne l’avez toujours pas reçue, nous vous conseillons de contacter votre bureau de poste ou votre centre des impôts. Ils pourront vous fournir plus d’informations et vous aider à trouver une solution.

Les problèmes administratifs

Il est possible que des erreurs administratives se soient produites lors du traitement des données ou en raison de problèmes informatiques, ce qui pourrait expliquer pourquoi vous n’avez pas reçu votre chèque énergie. L’administration fiscale peut également rencontrer des défaillances dans son système, ce qui peut entraîner des erreurs occasionnelles.

Réclamer votre chèque énergie 2023 : comment procéder ?

Obtenir le chèque énergie 2023

Si vous n’avez toujours pas reçu votre chèque énergie alors que la campagne de distribution est terminée, il est important d’agir rapidement. Pour résoudre ce problème, vous avez deux options. Vous pouvez contacter le service dédié au chèque énergie en composant le numéro gratuit 0 805 405 805. Un conseiller sera à votre disposition pour répondre à vos questions et émettre un nouveau chèque énergie si nécessaire. Vous pouvez également utiliser le site officiel www.chequeenergie.gouv.fr pour déposer une réclamation. La procédure est simple et vous permettra de résoudre efficacement ce problème afin de bénéficier de l’aide financière destinée à réduire vos dépenses énergétiques. N’hésitez pas à prendre les mesures nécessaires dès maintenant pour recevoir votre chèque énergie.

Voir aussi : Chèque énergie 2023 : Quels bénéfices pour les ménages français ?

deuxième vie pour les panneaux solaires

Une deuxième vie pour les panneaux solaires : Comment ils peuvent être utilisés comme matériau de construction durable

La popularité des panneaux solaires ne cesse de croître en raison de leur capacité à produire une énergie verte et renouvelable. Cependant, ces équipements ont une durée de vie limitée, ce qui soulève la question de leur recyclage. Le processus de recyclage est complexe et coûteux, ce qui pose un défi pour de nombreux experts. En effet, si les panneaux solaires usagés ne sont pas correctement gérés, cela peut entraîner des problèmes environnementaux importants.

Découvrez la deuxième vie pour les panneaux solaires !

Exploration de divers prototypes en cours d’étude

Des chercheurs de l’Institut indien des sciences ont proposé une idée intéressante pour réutiliser les panneaux solaires en fin de vie : les utiliser comme matériau de construction pour les murs. Ils ont construit un prototype de bâtiment à Bangalore en utilisant ces panneaux solaires usagés, et une autre structure est en cours de construction pour des études plus approfondies. Cette approche permettrait de recycler les panneaux solaires et de les donner une nouvelle vie dans le secteur de la construction.

Augmenter la longévité des panneaux solaires

une-deuxieme-vie-pour-les-panneaux-solaires-comment-ils-peuvent-etre-utilises-comme-materiau-de-construction-durable

En utilisant cette solution, les experts de l’IISc (Institut indien des sciences) espèrent réduire la quantité de déchets solaires qui finissent malheureusement dans les décharges. Rien qu’en Inde, on estime que ces déchets pourraient atteindre près de 35 000 tonnes au cours des sept prochaines années. Ce concept novateur permet également de réduire l’impact environnemental des panneaux solaires en leur donnant une seconde vie. « La durée de vie d’un panneau solaire est généralement de 20 à 25 ans. En réutilisant les cellules inefficaces comme matériau de construction, on peut prolonger cette durée de vie de 30 à 35 ans supplémentaires », explique le professeur Monto Mani, membre de l’équipe de recherche.

Approfondissement des études à venir

Les chercheurs ont découvert que les panneaux solaires usagés pourraient être utilisés pour alimenter des appareils de faible puissance. Cependant, il est important de noter que certains revêtements de cellules solaires peuvent être toxiques pour l’environnement et même cancérigènes. Les effets potentiels de l’utilisation de ces panneaux sur la santé humaine sont en cours d’étude. Il est donc essentiel de prendre en compte ces facteurs lors de l’utilisation de panneaux solaires en fin de vie comme matériau de construction.

Consultez notre dossier sur la production d’énergie à l’aide de panneaux solaires

Chèque énergie 2023

Chèque énergie 2023 : Quels bénéfices pour les ménages français ?

Une nouvelle vague de distribution du Chèque énergie 2023 est prévue en France, ce qui est une excellente nouvelle pour plus de 5,8 millions de bénéficiaires à travers tout le pays. Depuis le 21 avril 2023, ce dispositif a commencé à être versé aux ménages éligibles, selon un calendrier préétabli. Cette semaine, une nouvelle vague de versements va être lancée. Mais qui est concerné par ce nouveau versement ?

Le but principal du Chèque énergie

cheque-energie-2023-quels-benefices-pour-les-menages-francais

Le chèque énergie 2023 est un dispositif qui offre une aide financière aux ménages français à revenus modestes pour les aider à payer leurs factures énergétiques. Les montants de cette aide varient de 48 euros à 277 euros, ce qui est particulièrement utile en cette période de difficultés économiques. Les bénéficiaires de ce chèque peuvent l’utiliser pour couvrir différentes dépenses liées à l’énergie, telles que les factures d’électricité, de fioul domestique, de gaz naturel, de bois, de biomasse et d’autres sources utilisées pour le chauffage ou la production d’eau chaude.

Le chèque énergie 2023 : Une aide polyvalente pour les dépenses énergétiques

Le chèque énergie de 2023 offre plus que simplement payer vos factures énergétiques. Il peut être utilisé pour financer des projets de rénovation énergétique dans votre maison. Cela comprend le remplacement d’un système de chauffage défectueux, l’isolation de votre maison, le remplacement des fenêtres pour une meilleure conservation de la chaleur et même la réalisation d’un audit énergétique pour évaluer les performances énergétiques de votre logement. Le gouvernement français souhaite ainsi encourager les actions visant à améliorer l’efficacité énergétique des habitations.

Chèque énergie 2023 : Quels départements bénéficieront du versement ?

Cette vague de paiements du chèque énergie concerne plusieurs départements, y compris les Alpes-Maritimes, l’Aude, l’Aveyron, les Bouches-du-Rhône, la Charente, la Corrèze, la Corse, la Dordogne, le Gard, le Gers, l’Hérault, l’Isère, les Landes, le Lot, le Lot-et-Garonne, la Lozère, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, le Tarn-et-Garonne, le Var, le Vaucluse et la Vienne, ainsi que plusieurs départements d’Outre-Mer. Habituellement, il faut compter entre deux et quatre jours pour recevoir cette aide après son envoi. Si vous pensez être éligible mais que vous ne l’avez pas encore reçue, vous pouvez déposer une réclamation ou contacter directement le service dédié au numéro 08 05 20 48 05. La semaine prochaine, la dernière vague de paiements sera effectuée dans les départements français restants. Assurez-vous de vérifier votre boîte aux lettres, car votre chèque énergie pourrait arriver d’un jour à l’autre. N’oubliez pas que chaque aide compte pour lutter contre la précarité énergétique. Le chèque énergie 2023 est là pour vous aider à traverser cette période difficile et améliorer le confort de votre foyer tout en réduisant vos dépenses énergétiques.

L’évolution du chèque énergie en France

Le chèque énergie est une aide essentielle pour de nombreuses familles françaises qui luttent contre la précarité énergétique. Mais quel est son avenir ? Le gouvernement français s’est engagé à combattre la précarité énergétique et à promouvoir une transition énergétique équitable, et le chèque énergie est l’un des outils clés de cette nouvelle stratégie.

Dans les années à venir, on peut s’attendre à ce que le chèque énergie continue de jouer un rôle primordial dans la lutte contre la précarité énergétique en France. Ce n’est pas simplement un chèque, c’est une opportunité d’améliorer la qualité de vie des ménages les plus modestes.

Découvrez la liste complète des aides disponibles pour vos travaux de rénovation énergétique
.

audit énergétique

Les secrets d’un audit énergétique minutieux : un pas de plus vers l’efficacité énergétique

les-secrets-dun-audit-energetique-minutieux-un-pas-de-plus-vers-lefficacite-energetique

Depuis avril 2023, l’audit énergétique est obligatoire pour certains biens immobiliers. Il permet à l’acquéreur d’avoir une vision des travaux à effectuer pour améliorer l’efficacité énergétique du bien. Fanny Delsol, ingénieure thermicienne chez Ithaque, nous détaille le processus

Depuis le 1er avril, si vous êtes propriétaire d’un bien immobilier, il est possible que vous ayez dû réaliser un audit énergétique. Les propriétaires des biens les plus énergivores, c’est-à-dire ceux classés F ou G au diagnostic diagnostic de performance énergétique (DPE), devront présenter aux acheteurs un nouvel audit énergétique lors de la première visite du bien. Cet audit, valable 5 ans, deviendra ensuite obligatoire au 1er janvier 2025 pour les biens classés E, et au 1er janvier 2034 pour les logements de la classe D. Mais comment se déroule cet examen du logement réalisé par un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE) ou titulaire d’un autre signe de qualité (Certibat, Qualit’ENR, label Pros de la Performance Énergétique…), des architectes et sociétés d’architecture qui ont suivi une formation dédiée? Qu’apporte-t-il de plus que le DPE? MoneyVox a demandé à Fanny Delsol, ingénieure thermicienne pour la société spécialisée Ithaque, de nous détailler le processus.

Le déroulement d’un audit énergétique

Lorsque nous rencontrons un client pour la première fois, nous avons déjà eu une conversation téléphonique préliminaire au cours de laquelle il nous a fourni plusieurs documents sur sa maison. Nous demandons des plans et des diagnostics de performance énergétique déjà réalisés. Cela nous permet d’être plus efficaces. Cependant, si nous n’avons pas ces documents, nous pouvons partir de zéro. Ensuite, nous prévoyons une visite d’audit énergétique chez le client. Lors de cette visite, nous discutons de son projet de rénovation et recueillons les informations nécessaires pour réaliser les simulations thermiques. Ce temps d’échange est essentiel. Il nous permet de comprendre les objectifs du client, de comprendre pourquoi il souhaite effectuer des travaux de rénovation énergétique et quels sont ses besoins.

Comment fournir une évaluation précise et chiffrée des travaux de rénovation pertinents lors d’un audit énergétique?

Lorsque nous évaluons l’enveloppe d’une habitation, nous examinons différents éléments tels que le type de vitrage, la présence de volets intérieurs ou extérieurs, les portes, les murs (leur épaisseur, la présence d’un isolant, les problèmes visibles comme l’humidité ou les fissures), ainsi que le sol et le plafond. Nous vérifions également si le système de ventilation est fonctionnel et s’il respecte les normes en termes de débit. De plus, nous étudions le système de chauffage, sa puissance, son année d’installation, la présence de radiateurs ou d’un thermostat. Si le client envisage d’installer un système solaire, nous examinons également les apports solaires, l’orientation et l’inclinaison de la toiture. Toutes ces données sont ensuite intégrées dans un logiciel de simulation thermique pour déterminer l’étiquette énergétique du bâtiment, qui varie de A à G en fonction de la consommation énergétique et des émissions de gaz à effet de serre.

En ce qui concerne la fiabilité des diagnostics de performance énergétique (DPE) et des audits énergétiques, il peut y avoir des écarts entre deux DPE, mais les audits sont généralement plus précis et fiables. La principale différence entre un DPE et un audit énergétique réside dans le fait que les DPE sont réalisés plus rapidement et avec moins de données. Il est donc plus facile de commettre des erreurs concernant l’isolation ou l’orientation, qui sont pourtant des facteurs importants. Les audits énergétiques sont plus pointilleux, ce qui explique leur plus grande fiabilité.

Combien coûte cet audit récent ?

Selon Laetitia Caron, directrice générale de pap.fr, l’audit énergétique dont le vendeur est responsable peut coûter environ 550 euros. Pour payer cet audit, vous pouvez demander l’aide de MaPrimeRénov’ qui peut atteindre 500 euros, en fonction de vos revenus.

baisse du prix du gaz

2023 : La meilleure période pour profiter de la baisse du prix du gaz

Bonne nouvelle pour les consommateurs d’énergie : le prix du gaz devrait diminuer en septembre 2023. Selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE), le prix de référence du gaz sera en baisse, ce qui signifie que les ménages qui ont souscrit un contrat indexé sur ce prix devraient voir leur facture diminuer. Cette baisse des prix est une bonne nouvelle pour les consommateurs, qui font face à une hausse des prix de l’énergie. Les prix du kWh pour le chauffage seront estimés à 0,08218 €/kWh, tandis que ceux pour l’eau chaude et la cuisson seront de 0,10512 €/kWh. Cette baisse des prix devrait donc permettre aux consommateurs de réaliser des économies sur leur facture énergétique.

Le « prix repère » mis en place par la CRE, c’est quoi ?

Depuis juillet dernier, les tarifs réglementés de vente de gaz ont été supprimés et les prix fluctuent désormais chaque mois. Pour aider les consommateurs à s’y retrouver parmi les nombreux contrats disponibles sur le marché de l’énergie, la Commission de régulation de l’énergie a décidé de publier un « prix repère ». Ce prix donne une indication sur le montant acceptable de l’abonnement et le prix du kilowattheure de référence pour chaque mois, afin d’aider les ménages à comparer les différentes offres.

Information utile :

Le prix du gaz indiqué par la CRE pour l’abonnement et le kWh est simplement une indication et les fournisseurs de gaz ne sont pas obligés de le suivre.

L’impact de la baisse du prix du gaz sur les factures des consommateurs

2023-la-meilleure-periode-pour-profiter-de-la-baisse-du-prix-du-gaz

En septembre, le prix du gaz pour le chauffage et l’eau chaude et la cuisson serait donc en baisse par rapport au mois d’août, mais légèrement supérieur à celui de juillet, selon la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE). Pour le chauffage, le prix repère du kWh du gaz est de 0,08218 €, tandis que pour l’eau chaude et la cuisson, il est de 0,10512 €. Cette baisse du prix repère signifie que la part variable hors taxes d’un consommateur type diminuera de 1,56 €/MWh entre août et septembre 2023, ce qui aura un impact positif sur la facture des consommateurs ayant un contrat indexé sur le prix de référence. En ce qui concerne les abonnements annuels, les tarifs de référence pour un contrat de chauffage sont de 102,94 €, tandis que pour un contrat d’eau chaude et de cuisson, ils sont de 257,18 €. Ces tarifs sont stables depuis deux mois.

Information importante à retenir :

Il est tout à fait possible de changer de fournisseur de gaz gratuitement. Il est recommandé de comparer les offres afin de trouver celle qui est la plus avantageuse pour vous. Vous pouvez ainsi profiter de tarifs plus intéressants et réaliser des économies sur votre facture de gaz.

Les raisons de la baisse des prix du gaz en septembre

En septembre, la baisse du prix du gaz sur les marchés de gros a entraîné une diminution du prix de référence. Le prix de référence, calculé par la CRE, est une estimation moyenne des coûts supportés par les fournisseurs d’énergie. Il inclut le coût d’approvisionnement, les coûts commerciaux, les frais d’acheminement et de stockage, ainsi que la rémunération du fournisseur. Cette diminution du prix offre une opportunité aux consommateurs de profiter de tarifs avantageux.

Pas de date précise pour l’interdiction des chaudières à gaz

La consultation publique menée par le gouvernement sur les chaudières à gaz s’est terminée le 28 juillet. D’après les informations relayées par Les Échos, le gouvernement aurait décidé de faire marche arrière sur l’interdiction des chaudières à gaz prévue pour 2026. Cependant, il se pourrait qu’il supprime toutes les aides pour l’installation de chaudières à gaz ou à fioul dès la rentrée, dans le but d’encourager les énergies plus respectueuses de l’environnement. Nous devrons donc attendre pour voir comment cette affaire se développe.

sol PVC

Le sol PVC : les avantages et inconvénients à connaître !

Le sol en PVC, également appelé polychlorure de vinyle, est un revêtement de sol synthétique de plus en plus populaire. Il offre une alternative économique et pratique aux matériaux traditionnels tels que le carrelage ou le parquet. Cependant, il présente également quelques inconvénients à prendre en compte avant de faire votre choix. Dans cet article, nous allons vous présenter les principaux avantages et inconvénients du sol PVC afin de vous aider à mieux comprendre ce qu’il peut apporter à votre intérieur.

Les points forts du sol PVC

Installation et entretien simples

Le sol PVC est extrêmement facile à installer, que ce soit avec des dalles ou des lames clipsables. Il vous suffit de bien préparer votre sol et de suivre les instructions du fabricant. De plus, vous n’aurez pas besoin de faire de gros travaux ou d’avoir des compétences particulières, ce qui vous permettra de gagner du temps et de l’argent.

En ce qui concerne l’entretien, le sol PVC est très simple à nettoyer. Un simple coup d’aspirateur ou de balai suffit généralement pour enlever la poussière et les saletés. Si vous souhaitez un nettoyage plus en profondeur, vous pouvez utiliser une serpillère humide avec un produit adapté sans craindre d’endommager le revêtement.

La solidité et la longévité du sol PVC

Le sol PVC est un excellent choix pour les pièces à fort passage comme le salon, la cuisine ou l’entrée car il est résistant à l’usure, aux chocs et aux rayures. De plus, sa résistance au feu offre une sécurité supplémentaire en cas d’incendie. La durabilité du sol PVC dépend de la qualité du produit choisi. Il existe différentes épaisseurs et finitions de revêtements PVC, donc il est important de choisir un sol PVC de bonne qualité pour une durée de vie pouvant atteindre jusqu’à 20 ans.

Plus de confort et d’isolation

Le sol PVC a un autre avantage, c’est son confort. Contrairement au carrelage qui est plus dur, il a une surface souple et agréable sous les pieds. C’est un isolant thermique et phonique du sol, ce qui améliore le confort de votre maison et limite les bruits entre les pièces.

Les désavantages du sol en PVC

le-sol-pvc-forcemat-les-avantages-et-inconvenients-a-connaitre

Les inconvénients du sol PVC en termes de produits chimiques et de chaleur

Le sol PVC peut être sensible aux produits chimiques tels que les solvants, les détergents et les huiles. Il est donc important de choisir des produits d’entretien adaptés pour éviter d’endommager le revêtement. Il est également déconseillé d’utiliser un nettoyeur vapeur sur ce type de sol.

De plus, la chaleur peut également avoir un impact négatif sur le sol PVC. Une exposition prolongée à une forte température peut causer des déformations ou endommager le matériau. Il est donc important de faire attention aux sources de chaleur telles que les radiateurs ou les cheminées, et de protéger le sol si nécessaire en utilisant des tapis ou des protections sous les pieds des meubles.

Conservation des teintes

La tenue des couleurs du sol PVC peut être différente selon la qualité du produit. Certains sols PVC peuvent changer de couleur avec le temps, notamment à cause des rayons UV. Il est donc important de se renseigner auprès du fabricant et de choisir un sol PVC qui résiste bien aux UV pour éviter ce problème.

Conséquences écologiques

Il est essentiel de tenir compte de l’impact environnemental du sol PVC. Même si certains fabricants font des efforts pour proposer des produits écologiques, il faut rappeler que le PVC est un matériau synthétique qui provient de la pétrochimie. De plus, son recyclage en fin de vie peut être difficile, ce qui constitue un inconvénient majeur sur le plan écologique.

Comment choisir le bon revêtement de sol PVC : quelques conseils

Pour bien choisir parmi les différentes options de sols PVC, voici quelques points importants à prendre en compte :

– La qualité du produit : il est préférable d’opter pour un sol PVC de bonne qualité qui respecte les normes environnementales, afin de bénéficier d’un revêtement durable et performant.
– Le type de pose : en fonction de vos compétences et de la configuration de votre logement, vous pouvez choisir entre des dalles ou lames clipsables, ou bien un sol PVC à coller.
– Les dimensions et motifs : adaptez votre choix de sol PVC en fonction de la superficie de la pièce et de vos préférences en matière de décoration (imitation parquet, carrelage, béton, etc.).
– Le budget : le sol PVC offre une gamme de prix variée, ce qui vous permet de trouver une solution adaptée à vos moyens. N’hésitez pas à comparer les offres pour trouver celle qui correspond le mieux à vos besoins.

En résumé, le sol PVC présente de nombreux avantages, tels que sa facilité d’installation, sa résistance et son confort. Cependant, il faut également prendre en compte certains inconvénients, comme sa sensibilité aux produits chimiques et à la chaleur, ainsi que son impact sur l’environnement. Il est donc important de bien réfléchir avant de choisir ce type de revêtement de sol.

© Copyright - Tendance énergétique ∣ Politique de confidentialitéParamètres des cookiesMentions légales